vendredi 13 décembre 2024

When evil lurks

 

La dernière image ? Elle est multiple tant de moments terrifiants reviennent en mémoire. Pour tout dire, ça faisait longtemps que j'espérais voir se déchaîner une telle puissance dévastatrice à l'écran. De la terreur à l'état pur.

Par un propos subversif (notamment sur la famille, ici plus du tout un refuge), le réalisateur franchit ostensiblement toutes les lignes rouges, met en scène l'inpensable (la scène du chien pour ne prendre que cet exemple) et laisse exsangue, aussi désespéré que le personnage principal.

Certes, il y a des défauts, des répétitions malvenues, des moments trop explicatifs, mais l'incroyable audace de ce réalisateur (à suivre assurément) parvient preque à faire oublier ces défauts (d'écriture essentiellement) parfois gênants mais jamais rédhibitoires.

Je ne sais pas si ces références sont bien celles du réalisateur mais on pense et pas qu'un fois à des films comme l'Au-delà (Lucio Fulci) ou les Révoltés de l'an 2000 (de Narciso Ibanez Serrador. Je pense à la scène de lynchage dans l'école).

Pour celles et ceux qui le verront, attachez vos ceintures !


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