Dans une période où on s'enflamme un peu vite pour le très mauvais Django Unchained, il est grand temps de re-découvrir Day of the outlaw. Un des plus grands westerns qu'il m'ait été donné de voir, Un immense film tout court d'ailleurs. Minimalisme de l'intrigue (un passeur entraîne des hors la loi vers une mort certaines dans les montagnes enneigées, sorte de délicieux point de non-retour), personnages puissants (l'ambiguïté à son paroxysme parmi les hors la loi comme parmi les villageois otages), décors unique (jamais paysages blancs n'ont si bien convenu à l'univers du western) et surtout la plus grande et belle idée pour un final de western jamais portée à l'écran (je ne dévoile rien)... Franchement, vous voulez un immense film ? Here it is !
La dernière image ? Ce que je garde de précieux d'un film pas revu depuis 1 minute ou belle lurette
vendredi 5 juillet 2013
La chevauchée des bannis. Day of the outlaw. André De Toth. Inoubliable final
Dans une période où on s'enflamme un peu vite pour le très mauvais Django Unchained, il est grand temps de re-découvrir Day of the outlaw. Un des plus grands westerns qu'il m'ait été donné de voir, Un immense film tout court d'ailleurs. Minimalisme de l'intrigue (un passeur entraîne des hors la loi vers une mort certaines dans les montagnes enneigées, sorte de délicieux point de non-retour), personnages puissants (l'ambiguïté à son paroxysme parmi les hors la loi comme parmi les villageois otages), décors unique (jamais paysages blancs n'ont si bien convenu à l'univers du western) et surtout la plus grande et belle idée pour un final de western jamais portée à l'écran (je ne dévoile rien)... Franchement, vous voulez un immense film ? Here it is !
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